• " Dejolieschaussures avec "to build or not to build" nous ont vendu du rêve à l'état sauvage! 4 fantastiques qui surprennent, plein d'imagination et de dépoussiérage de Marivaux, à Shakespeare, Molière, en passant par Feydeau! Des cailles, des pistolets à eau, des bombes à confettis! Youp youp Youp!!"

    "J'ai sincérement pris mon pied à votre spectacle avec limite envie de reprendre le théâtre!"

    Les premiers retours... (ca fait trop du bien)... A vous de compléter... (les commentaires sont ouverts...)

    A+.

    J.





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  • Tadam! Grande nouvelle!

    Oyez oyez gentils lecteurs!

    Un invité mystère illuminera de son exubérante présence le spectacle des jolies chaussures !

    Avez vous deviné de qui il s'agit?

    (PS : pour avoir la réponse à la question.... il faut venir vendredi soir!!)

    A+

    J.


    2 commentaires
  • La date approche, ... et le stress monte.

    Si pour des évidentes raisons d'économies de moyen nous n'avons pas monté notre décor au castel com, nous sommes donc pour l'instant contraints ... à répéter sans décor .... mais pas sans accessoires (comme les plus aiguisés d'entre vous n'auront pas manqué de le remarquer sur la photo....).

    Et figurez vous que remettre la main sur tous les accessoires n'est pas vraiment chose aisée. Par exemple, je ne retrouve plus ma magnifique culotte qui tient son heure de gloire pendant la cantatrice chauve. A ce moment là, il est vrai que si vous n'avez jamais vu le spectacle... vous ne voyez pas franchement le rapport entre une culotte et Ionesco... et pourtant...

    Votre curiosité est attisée, là ... (tout de suite dès qu'on parle de culotte, y'a des amateurs...)... le suspens est immense, intense et difficilement soutenable, va t elle retrouver sa culotte? va t il falloir en trouver une autre? un string? un porte jarretelle? un godmichet? un truc en cuir? en plumes? ...

    Il n'y a qu'une seule façon de le savoir............................................rendez vous vendredi soir!

    Bises à tous,

    A+

    J.

     


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  • Petit travail de cette fin de journée.... l'envoi des lettres de promo, il y a de très fortes chances pour qu'elles atterissent dans le vide... mais nous dirons que nous avons essayé!

    Voilà maintenant, les célestins, le TNP, le théatre de la croix rousse, le théâtre tête d'or... savent que nous existons...

    Allez comme on vous aime bien, on vous la mets, le lettre de promo!

     

     

    Madame, Monsieur,

    Ceci est une énième lettre promotionnelle. Peut-être en recevez-vous des centaines. Sûrement, même.

    Oui, mais celle-là est différente.

    Enfin, non, c’est toujours une lettre, des mots sur un écran, des lettres qui font des mots. C’est la pièce qu’elle promeut qui est différente.

      

    Si les pièces que vous aimez voir ou que vous cherchez pour votre programmation, sont des pièces classiques, au déroulé attendu et à la mise en scène réaliste, tant en termes de jeu que de décors, si vous refusez que l’on dérange votre public, jetez ce courrier, tout de suite. Attention, si vous ne le jetez pas, vous aurez été prévenus.

    Parce que si vous lisez cette lettre jusqu’à sa conclusion, vous aurez peut-être envie d’aller à Villefranche sur Saône, un vendredi soir de la fin octobre (le 28 pour être exact), voir une troupe locale dont on attend rien mais … qui présente les textes classiques comme vous ne les avez jamais vus.

    On peut chanter du Shakespeare depuis le haut d’un escabeau, faire pleurer Phèdre en vrai pour de vrai, raper sur le cid, faire de jeux de mots idiots, jouer la cantatrice chauve sans dire un mot…

    On peut comprendre que tous ces textes parlent du couple, on juste trouver ça drôle, on peut avoir le sens du détail et du mouvement, on peut aborder Cyrano de Bergerac par un autre bout, on peut créer une parenthèse où rien n’est grave et où tout est drôle.

    On peut faire une pièce qui  plait au public mais qui chatouille le metteur en scène, dérangé par cette inconstance qui créé le rythme, cette succession qui ne raconte  pas une histoire mais qui nous donne pourtant envie d’en voir encore, où l’on découvre qu’il y a derrière chaque pirouette, un sens plus profond qu’il n’y parait…

    On peut faire une pièce où la mise en scène ne se met pas au service du texte, où elle le dérange, le travaille, le questionne, le rend immense, puis tout petit, l’interroge et le chatouille et,  au même titre que l’acteur, en fait un matériau malléable. Au final, c’est ce qui le rend plus grand, plus universel.

    On peut faire tout ça, et vous pouvez venir voir ça.

    Si ces quelques mots ont éveillé une étincelle de curiosité, alors ce n’est pas grave, vous raterez Koh Lanta  et viendrez le 28 octobre à 20h30 au Théâtre de Villefranche sur Saône et nous sommes surs que vous ne le regretterez pas !

    A très bientôt !

     

    un peu de promo....

     

     A +

    J.


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